Afrique Réelle Bernard Logan Lerman

June 2, 2024, 5:57 pm

Africaniste renommé, récemment auteur entre autres ouvrages d'une Histoire de l'Afrique, d'une Histoire de l'Afrique du Sud et d'une Histoire du Maroc, expert auprès du TPI-Rwanda et éditeur de la lettre d'information L'Afrique Réelle, Bernard Lugan signe aujourd'hui une nouvelle somme. Son livre est très logiquement divisé selon un plan chronologique en quatre grandes parties: « Guerres et sociétés guerrières en Afrique avant la colonisation », « Les guerres de conquête coloniale », « Les guerres de la période coloniale » et « Les guerres contemporaines, 1960-2013 », tous conflits dont il fait le récit chronologique et factuel. Le siècle vandale au Maghreb | le360.ma. On voit bien l'ampleur du sujet et Bernard Lugan nous fait plusieurs fois traverser le continent de part en part au fil des époques. La grande région sahélienne, celle des Grands Lacs et l'Afrique australe reviennent bien sûr à plusieurs reprises et certaines situations résonnent en écho jusqu'à aujourd'hui. Tous les chapitres, agrémentés d'encarts qui précisent des situations locales ou des données chiffrés, sont intéressants et l'on ne retiendra à titre d'exemple que quelques titres de la dernière partie (sait-on que pour la période 2000-2010 70% des décisions de l'ONU sont relatives aux conflits africains?

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Ce numéro spécial consacré aux Traites esclavagistes était une nécessité. Le terrorisme pratiqué par ceux qui se sont baptisés « décoloniaux » ou « indigénistes », cache en effet, derrière une volonté de revanche historique relevant peut-être de la psychanalyse, une tentative de prise de pouvoir culturel et idéologique. Afrique réelle bernard lugan. A travers un prétendu « anti-racisme » reposant sur un puissant racisme anti-Blanc. Toute société non frappée de « sida mental » aurait répondu à ce qu'il est difficile de qualifier autrement que de « foutaises », par le sarcasme avantageusement associé au pédagogique rosse-coquin qui, traditionnellement, permettait de remettre de l'ordre chez certains esprits égarés. Tout au contraire, à deux ou trois exceptions près, journalistes et hommes politiques – RN compris -, rassemblés dans un immense troupeau de couards, se sont couchés devant deux ou trois braillards au casier judiciaire plus que chargé. Tels des lemmings apeurés, ils se sont ainsi faits les suivistes d'une subversion qui les emportera.

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En 435, Genséric était le maître d'une région allant de l'actuelle ville de Sétif jusqu'au centre de l'actuelle Tunisie, la Byzacène des Romains. Cette année-là, par le Traité d'Hippone, l'empereur Valentinien III (424-455) lui accorda le statut de fédéré avec le droit de s'installer dans les régions qu'il venait de conquérir en échange de sa promesse de ne pas aller au-delà. Cependant, dès 439, passant outre ce traité, Genséric s'empara de Carthage, puis, en 442, il débarqua en Sicile. Afrique réelle bernard lugan sur. Acculé et impuissant, l'empereur reconnût alors le royaume vandale avec pour capitale Carthage, contre l'abandon de la Sicile. Ce traité partageait donc l'Afrique romaine entre l'Empire, ou du moins ce qui en restait, et Genseric qui voyait son pouvoir reconnu jusqu'à Oea (Tripoli). En 455, après la mort de Valentinien III, Genséric se lança dans une nouvelle phase de conquêtes, s'emparant de la totalité de la Sitifensis, la région de Sétif, soit l'actuelle Algérie centrale, de la Corse, de la Sardaigne, des îles Baléares et d'une partie de la Sicile.

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4) La richesse de l'Europe ne repose pas sur les profits de l'odieux commerce car l'apport du capital négrier dans la formation du revenu national des nations esclavagistes dépassa rarement la barre de 1%. En moyenne la contribution de la Traite à la formation du capital anglais se situa ainsi annuellement, autour de 0, 11%. Bernard Lugan Texte repris du site Blog de Bernard Lugan

Alors que la moitié de la population a moins de 20 ans, le pays est dirigé par des vieillards dont la seule « légitimité » repose sur le mythe de la résistance à la colonisation et sur d'auto-affirmations « résistancialistes » le plus souvent imaginaires. Quant aux nombreuses associations d' « ayants-droit » auto proclamés acteurs ou héritiers de la « guerre de libération », dont les Moudjahidines ou Les enfants de martyrs, elles bloquent la jeunesse sur des schémas obsolètes qui tournent le dos à la modernité. Avec 6% de toutes les dotations ministérielles, le budget du ministère des Anciens combattants est ainsi supérieur à ceux de l'Agriculture (5%) et de la Justice (2%)… La cleptocratie d'Etat qui, depuis 1962 a fait main-basse sur l'Algérie indépendante a dilapidé l'héritage laissé par la France avant de détourner des dizaines de milliards de dollars de recettes gazières et pétrolières sans songer à préparer l'avenir. Afrique réelle bernard lugan hotel. Après avoir ruiné le pays, il ne lui reste donc plus que son habituelle recette: accuser la « France coloniale ».

Leur acte d'accusation tient en quelques mots: l'homme blanc est coupable par essence, son histoire est une infamie et les descendants des peuples colonisés sont victimes de discriminations "systémiques". La solution? S'effacer et leur laisser la place, pardi. C'est à ces "décoloniaux" alliés aux islamo-gauchistes (dont ils seront un jour les dupes) que Bernard Lugan répond dans un livre fort utile. Spécialiste de l'histoire africaine, expert auprès du Tribunal pénal international pour le Rwanda de l'Onu et ancien professeur à l'École de guerre, c'est peu de dire qu'il connaît son affaire. L'Africaniste Bernard Lugan règle ses comptes avec les décoloniaux (VIDÉO) - Nouvelles de France Portail libéral-conservateur. La France a pillé l'Afrique, affirment les "décoloniaux" et elle a ainsi une dette vis-à-vis des peuples colonisés. La vérité, c'est que l'empire colonial fut le véritable tonneau des Danaïdes de la France qui s'y ruina plus qu'autre chose. Lugan rappelle que lorsque la gauche républicaine lança le pays dans la course impériale à la fin du XIXe siècle, la dimension économique était secondaire. C'est l'"émancipation" et le progrès que l'on voulait apporter à l'Afrique, au nom d'une supériorité philosophique supposée, quoi qu'on en pense.